lundi 31 août 2009

Shopping recyclable

J'ai découvert il y a quelques jours Nimli, un site de vente très sympa. On y trouve des fringues, accessoires, bijoux, sacs, mais aussi de la déco ou encore des cosmétiques. Et tout ça dans un esprit très vert : tous ces produits sont faits à partir de matières naturelles, organiques, parfois à la main aussi. On y trouve aussi pas mal de chaussures végétariennes (sans cuir donc), et beaucoup de produits dits "recyclables". Et c'est cet aspect de Nimli que j'ai voulu mettre en avant, car il est rare de voir un vêtement, un bijou ou un sac, très joli de surcroît, et fait en matériaux recyclables. Chapeau donc !






Il y a même de très jolies ceintures recyclables !


Et j'ai craqué pour deux sacs, qui sont "seulement" organiques. Enfin, c'est déjà pas mal je trouve !


J'adore les couleurs de celui-ci. Il existe aussi en uni, en différentes couleurs.

Oh, et j'ai oublié de préciser qu'on trouve pas mal d'articles à des prix tout à fait abordables. Non non, je n'essaye pas de vous pousser à acheter. Moi par contre, j'ai la souris qui me démange...

dimanche 30 août 2009

À bas André !

Il y a un moment que je voulais m'acheter des sandales, et j'ai donc profité des soldes, au début du mois de juillet, pour faire quelques magasins. Ne connaissant pas encore les petites boutiques de Paris, je me suis rabattu sur les grandes enseignes, et c'est chez André que j'ai trouvé chaussure à mon pied. De jolies tropéziennes en cuir marron clair, qui n'étaient malheureusement pas en solde (49 euros donc).


Il faut savoir que je marche beaucoup, et même en sandales. C'est aussi une bonne façon de les "faire" et en général, je suis bien dans toutes mes chaussures, à force justement de les faire en marchant. Et ces sandales ne dérogent pas à la règle ! Seulement, la semaine dernière, en rentrant d'une après-midi balade, je n'arrive presque plus à marcher parce que la lanière arrière est trop lâche et ne me soutient plus les pieds.
Je ne les mets pas pendant une semaine, je les réessaye de temps en temps pour voir si ce petit problème n'est pas du à ma longue marche (mais non) et je me décide enfin vendredi soir dernier à faire un autre trou dans la lanière, avec l'aide de mon chéri, pour pouvoir les porter de nouveau. Et là, c'est le drame...


La lanière se pète complètement ! Et je suis super en colère ! J'étais trop bien dedans, je trouvais qu'elles allaient avec tout, et elles me lâchent au bout d'un mois et demi alors que je ne les ai mêmes pas eues en solde ! En plus, il est limite trop tard dans la saison pour que je me rachète des sandales. Et j'hésite à mettre de la super glue, de peur qu'elles me relâchent en pleine rue...

Surtout, je suis très en colère contre André : j'avais déjà eu une mauvaise expérience de la sorte étant ado, mais je pensais qu'ils avaient un peu amélioré la qualité de leur produit. Et bien, non ! Ou alors c'est que je ne dois pas autant marcher avec mes chaussures, mais bon, ça sert quand même un peu à ça. Bref, entre ça et l'histoire des bottes qui laissent des brûlures, vous pouvez être sûr(e)s qu'André et moi, c'est bien fini...

Désolée pour le coup de gueule, mais j'avais besoin de vider mon sac.

Légers ratages culinaires

Les deux dernières recettes que j'ai tentées n'ont été que des demi-réussites pour la perfectionniste que je suis, mais je vous en parle quand même. J'avoue que parfois, quand les recettes que je tente ont été trouvées sur Internet, c'est plus difficile parce que les proportions ne sont pas toujours exactes (ce n'est pas le cas ici). Rien ne vaut donc un bon vieux livre de cuisine !

On commence par mon premier essai de lemon curd, sorte de confiture au citron dont je suis adepte depuis que j'ai vécu au Pays de Galles. C'est délicieux à tartiner sur des scones. J'ai trouvé cette recette sur le blog Le chou de Bruxelles, et ce n'est pas toujours super clair honnêtement. Je suis la recette à la lettre, je mets tous les ingrédients (jus et zestes de citron, sucre, beurre, œufs, maizena), je les mets au bain-marie et je n'arrête pas de mélanger. Sauf que, catastrophe, mes œufs commencent à cuire à part et forment de gros grumeaux dans le mélange...

Je finis par passer toute la préparation au chinois avant de la mettre en pot (c'est loooong), ce qui n'est finalement pas une si mauvaise idée : ça permet d'enlever les zestes qui auraient donné beaucoup trop d'acidité à la préparation. Au final, c'est plutôt réussi mais si vous connaissez une meilleure recette, je suis toute ouïe !


Vient ensuite ma tentative de macarons à la framboise. J'ai suivi la recette de Pure Gourmandise, très bien expliquée étape par étape. 1ère étape donc, la réalisation de la purée de framboises. Sans problème, même si ça m'a pris pas mal de temps de la passer au chinois pour enlever tous les pépins.


Ensuite, je tamise la poudre d'amandes et le sucre glace. Là aussi, c'est très long, mais à mon avis, mon tamis/chinois n'est pas top top. Je mélange la poudre aux blancs en neige, ça me donne un joli appareil bien brillant et je rajoute ensuite le fameux colorant (acheté chez Detou) pour obtenir une jolie couleur rose. Jusqu'ici, tout va bien.

Arrive l'étape délicate de la poche à douille. Pas très facile de tout faire toute seule ! Une fois le bout de ma poche un peu découpée, je place ma douille, et je mets la poche dans un grand verre pour pouvoir verser plus facilement l'appareil. Résultat : une fois la poche remplie, je l'enlève du verre pour m'apercevoir que ça a commencé à couler au fond et que ma douille n'est plus bien positionnée. Je forme donc mes macarons tant bien que mal, sans oublier d'asperger un peu la cuisine au passage !


Je les laisse croûter pendant plus d'une demi-heure, puis je les passe au four. Là, je précise que notre appartement est équipé d'un four à gaz. Honnêtement, je pensais qu'il n'y avait qu'en Angleterre qu'ils utilisaient encore ces antiquités... En gros, n'importe quel gâteau, tarte, cake doit cuire facile 20 minutes de plus que dans un four normal. Et pour ce qui est d'avoir une surface bien dorée, c'est quasi mission impossible ! Bref, je sors mes macarons, ils sont bien beaux, mais ils restent collés au papier sulfurisé. Je les remets donc un petit coup au four, et là, forcément, ils cuisent trop ! En refroidissant, ils deviennent tout cassant, bouh...

Pas tous à ce point-là quand même !



J'ai quand même réussi à sauver l'honneur : malgré leur apparence piteuse, ils étaient bons ! La prochaine fois, je les laisserai croûter plus longtemps je pense. Ou je resterai le nez collé au four...

samedi 29 août 2009

Rencontre explosive

Il y a bientôt deux semaines, Toro s'est levé, comme à son habitude un peu tard, et a pris son petit déjeuner dans le salon, les yeux encore plein de sommeil. Quand soudain...

Mais, qu'est-ce que c'est que ça ? Je n'aime pas les croquettes, moi !

Toro se rend ensuite dans la salle de bains, pour se brosser les dents.

C'est quoi ce gros sac ? Il n'était pas là hier !

Toro se doute de quelque chose. Il se rend dans la chambre et...

Tiens, une cage... Je sens que je me rapproche du but. Je vais enfin savoir ce qu'on me cache ici. Mais, qu'est-ce que... ?


C'est quoi ce chat ? C'est moi, le chat de la maison ! C'est inacceptable !!!


Et en plus, il squatte mon canapé ! Bientôt, il va jouer à ma X-box aussi...

Courage, Toro ! Sheva part bientôt (malheureusement...).

jeudi 27 août 2009

Rubrique chouette

J'ai décidé de créer une rubrique récurrente. C'est la première, mais peut-être pas la dernière ! J'y réfléchis depuis un moment déjà, et mes nombreuses flâneries sur le web m'ont confortée dans mon idée. Je vous présente donc la "Rubrique chouette".


Oui oui, au sens littéral ! Ne me demandez pas pourquoi, mais j'adore les chouettes. En vrai, je trouve que c'est un oiseau magnifique et majestueux, et j'ai un petit penchant pour les chouettes des neiges que je trouve sublimes. Dès que j'en vois une, j'ai envie de plonger mes mains dans son plumage et de lui caresser sa petite tête. C'est un coup de cœur inexplicable, donc je ne tente pas de l'expliquer plus. J'ai quelques petites chouettes chez moi, mais pas dans le genre mamie avec sa collection de petits chats, je vous rassure ! C'est plutôt des bijoux, ou vêtements :

En haut, Shana Logic ; en bas, Accessorize.

Et j'ai remarqué depuis peu que les chouettes sont partout : je ne sais pas si c'est devenu l'animal totem des magasins déco, mais je n'arrête pas d'en croiser partout sur Internet, que ce soit de simples bibelots, ou des sacs, bijoux, tee-shirts, cartes,... à l'effigie de chouettes. J'ai donc décidé de vous faire partager mes découvertes "chouettes", mais seulement celles qui en valent la peine, of course.

Voici donc la première, d'une longue liste je l'espère !

À découvrir sur Etsy, chez Just Peachy. Merci à mon amoureux, c'est lui qui m'a offert ce joli pendentif aujourd'hui, et sans aucune raison particulière en plus ! Je suis vraiment une veinarde.


Le pendentif était très joliment emballé et accompagné d'une jolie carte.

Errances

Je me balade souvent juste pour le plaisir de me balader. En particulier depuis que je suis à Paris, ça me permet aussi de découvrir la capitale et d'apprendre petit à petit à me repérer dans le dédale de ses petites rues. Et dans ces cas-là, mon appareil photo est mon compagnon privilégié.













Photos prises dans les 1er et 9e arrondissements.

mercredi 26 août 2009

Interlude animé

J'ai pas mal de boulot en ce moment, donc pas beaucoup de temps pour vous écrire.
J'avais quand même envie de vous faire partager ma découverte du jour : Partly Cloudy, (Passages nuageux en VF), le tout dernier court-métrage des studios Pixar. Les plus chanceux d'entre vous l'ont probablement déjà vu en allant voir Là-Haut, vu qu'apparemment, il était projeté avant le film. Nous, on n'a pas eu cette veine, et j'étais d'ailleurs étonné que Pixar ne nous présente pas un court-métrage avant le long, comme à son habitude.

Séance de rattrape donc. Enjoy !



Je vous rassure quand même, je travaille en très bonne compagnie.

dimanche 23 août 2009

Wild Things

S'il y a bien un film que j'ai très très hâte de voir, c'est Where the wild things are. Et ce, pour plusieurs raisons :

1 - même si je n'ai pas lu le livre, j'adore l'univers et les illustrations de Maurice Sendak
2 - je suis une grande admiratrice du travail de Spike Jonze. Comme beaucoup, j'ai halluciné en voyant Dans la peau de John Malkovich, et j'ai aussi adoré son second film, Adaptation, même s'il est moins connu en France. Et puis, 7 ans d'attente pour un nouveau film, c'est bien trop long !
3 - les premières images de Where the wild things are sont envoûtantes. Les "monstres" sont magnifiques, et super expressifs ; les mouvements sont très fluides ; le petit garçon (Max Records) a l'air très attachant ; et il y a aussi Catherine Keener, que j'adore. Le tout sur une musique de The Arcade Fire, mais que demande le peuple mes amis !

Pour la peine d'ailleurs, je vous le repasse un petit coup :



Et si je n'écris un billet là-dessus que maintenant, c'est que j'ai vu une image qui m'y a fait penser aujourd'hui !


Ce super gâteau en forme de Wild Thing (Moishe pour être précis) vient du génialissime blog Coco Cake Cupcakes. Un petit conseil, n'allez pas y faire un tour ou vous baverez partout sur votre clavier...

The photographic dictionary

Ce que j'aime particulièrement dans Internet, c'est que ça me permet de faire tout un tas de jolies découvertes. En ce moment, ça n'arrête pas, et j'ai envie de vous parler de l'une de ses bonnes surprises. Il s'agit d'un projet intitulé The photographic dictionary. Comme son nom l'indique, il s'agit d'un dictionnaire photographique : chaque mot est défini à travers une photographie. Il peut s'agir du sens littéral, imagé, ou même d'une définition plus personnel d'un mot. Voici quelques exemples pour vous donner un aperçu...

Tea :


Jump :


Birthday :


Flight :


Queue :


Santa Claus :


Cetaceum :


Portrait :


Je trouve ce dictionnaire tellement évidemment que je me demande pourquoi personne n'a eu cette brillante idée avant... Je trouve ce projet bien pensé, original, inspiré, et la plupart des photos sont vraiment réussies. Ce projet permet aussi de voir la conception que chacun a d'un terme en particulier. Pour moi, un mot signifie telle chose, mais il n'aura peut-être pas cette première définition pour mon voisin.
En plus, l'idée d'une collaboration collective me plaît beaucoup, le fait que chacun mette un peu de soi dans le but de construire quelque chose de commun. J'aurais bien aimé pouvoir participer d'ailleurs (même si je ne suis qu'une photographe amateur), mais il semble que ce soit réservé aux vrais professionnels...
Pour les vrais pros alors, à vos appareils photo !

samedi 22 août 2009

Les réceptions de l'ambassadrice

Vous l'aurez remarqué, j'aime cuisiner. Et en particulier pour les autres. J'aime recevoir et préparer des petits repas pour mes amis, même si c'est souvent synonyme de stress parce que je suis quelqu'un de super perfectionniste et que je trouve toujours à redire sur mes recettes. Sauf une, approuvée par tous ceux qui l'ont goûtée, et que je n'ai jamais ratée, et ce pour la bonne raison que cette recette est totalement inratable (je mets quiconque au défi).

Cette recette, c'est celle du cake salé. J'en fais assez souvent, en particulier quand il y a une petite fête où on ne fera que grignoter, ou pour un buffet. L'été, c'est le plat idéal avec une salade, et l'hiver, ça se déguste très bien avec une bonne soupe. On peut le faire à tout, il suffit de garder la base et de bien doser le reste (un cake trop chargé, c'est étouffe belle-mère...).
Grâce à cette recette miraculeuse, n'importe quel débutant en cuisine devient un pro aux yeux de ses convives. Si si !! C'est rigolo, parce qu'à chaque fois que j'en prépare un, tout le monde me sort : "C'est vraiment toi qui l'a fait ? C'est super bon !" alors que c'est LA recette super méga hyper simple. Bref, je ne vous fais plus languir, la voici la voilà.

Cake aux olives et aux lardons

3 œufs
150 g de farine
1 sachet de levure
10 cl d'huile de tournesol
12,5 cl de lait
100 g de gruyère râpé
200 g de lardons fumés
80 g d'olives
1 pincée de sel
2 pincées de poivre

Préchauffez votre four à 180° C (thermostat 6).
Dans un saladier, travaillez bien au fouet les œufs, la farine, la levure, le sel et le poivre. Incorporez petit à petit l'huile, puis le lait, préalablement chauffé. Ajoutez le gruyère râpé et mélangez le tout.
Faites rissoler les lardons sans matière grasse pendant 5 minutes, puis coupez les olives en morceaux. Mélangez ces deux ingrédients au reste de la préparation.
Versez le tout dans un moule non graissé et faites cuire au four pendant 45 minutes.



Autres suggestions : le cake chèvre, noix et raisins (200 g de chèvre bûche, 50 g de noix et 50 g de raisins de Corinthe). En gros, les ingrédients qui peuvent être changés doivent toujours représenter 250 à 300 g, pour être sûr de l'équilibre du cake.

Merci à Sophie Dudemaine sans qui mes réceptions ne seraient pas toujours un succès !

jeudi 20 août 2009

CLAMP à Paris

Dimanche, pour fuir la chaleur de notre appartement et pour ne pas rester à ne rien faire, on s'est organisé une petite sortie culturelle à la Galerie des Bibliothèques, dans le Marais. En ce moment s'y tient une exposition consacrée à CLAMP, l'équipe de mangaka entièrement féminine qui était également à l'honneur lors de la Japan Expo de cette année.


Pour ceux et celles qui ne connaissent pas CLAMP, cette équipe est une des grandes figures du manga actuel. Formée à la fin des années 80 et tout d'abord constituée de 10 femmes, l'équipe est à l'origine des mangas les plus populaires des années 90 (RG Veda, Tokyo Babylon, Trèfle, X, Card Captor Sakura...). C'est au milieu des années 90 que le groupe passe à 4 membres, sa formation actuelle.


Grâce à l'expo, on a pu en apprendre un peu plus sur le travail de chaque membre de l'équipe, ainsi que sur leur façon de fonctionner ensemble. Elles ne font pas tout ensemble, comme on aurait pu le croire, mais s'occupent chacune d'une étape de la conception, et communiquent bien sûr entre elles en cas de problème. En plus d'un petit documentaire, des planches à dessin nous ont permis de voir les différentes étapes de la création d'un manga : on met d'abord les bulles avec les textes, puis un dessin brouillon, qui s'affine au fur et à mesure qu'on ajoute les noirs, les trames... Bref, tout un tas d'étapes qui doivent être respectées afin d'obtenir un manga sous la forme qu'on connaît.

En plus de cette partie très intéressante, un grand nombre d'illustrations, dessins et peintures, pour la plupart originaux, retraçaient chronologiquement l'œuvre et le parcours de CLAMP, et nous ont permis de voir l'évolution de leur style.


L'exposition nous a permis de découvrir les dessins d'oeuvres un peu moins connues et d'en apprendre plus sur l'univers CLAMP. Les récits sont souvent fantastiques, remplis de sorcellerie, de magie, ou de créatures fabuleuses ; le thème du destin revient très souvent et détermine les actions du héros ; les personnages sont souvent doubles, cachent leur jeu ou se révèlent plus complexes qu'il n'y paraît : et surtout, le développement de ces personnages est au centre des différentes intrigues.

Les dessinatrices sont des pros du cross-over, et certains personnages d'oeuvres passées reviennent en caméo dans d'autres séries. L'exemple le plus flagrant reste la publication double de xxxHolic et Tsubasa Reservoir Chronicle, où les personnages passent souvent d'un manga à l'autre. De plus, Tsubasa Reservoir Chronicle reprend la plupart des personnages de Card Captor Sakura, même s'ils n'en sont finalement que des doubles.


En bref, vous l'aurez compris, l'univers de CLAMP est très riche et complexe : les créatrices aiment s'amuser avec leurs séries, mais aussi avec les contes médiévaux japonais (Shirahime Syo), les séries télés genre Bioman (Dukalyon) ou les romans européens (Miyuki-chan in Wonderland). Et esthétiquement parlant, c'est tout simplement magnifique, un vrai régal pour les yeux ! Elles ont un style bien particulier évidemment (même s'il semble se "lisser" avec les années), et c'est toujours un plaisir d'admirer leurs dessins.

À bon entendeur !