Babbu, jolie balade à l'italienne

Gros coup de cœur pour la marque italienne Babbu.










J'aime particulièrement la collection Automne-Hiver 2009-10. Peut-être parce que je trouve la mannequin sublime...








Ça va être dur de résister... Internet, je te maudis de me faire découvrir de si belles choses !

On ne mélange pas les torchons...

Avant de vivre à Paris, j'ai déjà eu plusieurs "chez moi" loin de chez mes parents. Pourtant, c'est seulement depuis que je suis ici (bientôt deux ans déjà) que j'ai envie d'un nid douillet. Peut-être parce que je suis là pour plus d'une année scolaire, enfin avec M., et que dans cet appartement, on commence à se faire plaisir, à donner vie à notre foyer, à exprimer nos envies. Ça passe bien évidemment par la décoration, mais aussi, par tout ce qui touche à la cuisine, pièce où je passe énormément de temps. Je n'ai pas vraiment encore de jolie vaisselle, même si l'envie ne manque pas (on ne peut pas beaucoup stocker dans notre cuisine, mais je ne désespère pas.) Par contre, les torchons étant rangés avec le reste du linge, dans la chambre, je me fais plaisir.

Recipe tea towel par Dawn Tan (Handmadelove)


Tea Time tea towel par Gemma Correll (via ToDryFor)


Torchon d'Iris par Iris de Moüy (acheté au Petit Atelier de Paris)

Je suis parée en torchons à mains, mais si vous avez des adresses pour de jolis torchons à vaisselle imprimés (plus classiques et japonisants si possible), je veux bien !

Un colis comme un second Noël

Oui, Noël est passé depuis un moment, mais pour moi, il s'est terminé en beauté lundi. Au mois de décembre, Pauline m'avait gentiment proposé un échange de colis de Noël. Étant fan de son univers et de son blog, j'avais hâte de voir ce qu'elle allait me concocter, mais également très envie de lui trouver des jolies choses. Comme Noël est une période peu reposante et que nous étions toutes les deux très occupées, les colis sont arrivés un peu plus tard que prévu, et ce n'est finalement peut-être pas un mal.

Lundi matin, après avoir rendu une traduction juste à temps, après avoir passé une nuit trop courte, après une semaine de boulot intensive entre Birmingham et Nantes, j'ai posé le colis de Pauline sur mes genoux (M. l'avait réceptionné la semaine précédente en mon absence), j'ai déchiré le scotch tant bien que mal et une fois la boîte ouverte, j'ai farfouillé parmi les petits bouts de polystyrène à la recherche des (nombreux) cadeaux qu'il contenait. Une fois tous posés sur le canapé près de moi, j'ai ouvert chaque paquet fébrilement, et à chaque fois, mes yeux se sont remplis d'étoiles devant tant de belles choses, choisies avec goût et surtout très bien choisies !

Plein de jolis emballages (bah oui, ça compte aussi !) :

Et tout ce qu'il y avait dedans

Grâce à Pauline, j'ai (notamment) de quoi ranger tout mon bordel mes bijoux, enfin goûté au chocolat Dolfin (au packaging très beau et original), j'ai maintenant un sac Madame Mo sans avoir à culpabiliser de m'être acheté un énième tote bag, ma collection de chouettes s'agrandit, et surtout, j'ai découvert le très beau coup de crayon d'Hélène, ainsi que son univers et son blog qui me plaisent énormément (merci pour ton mot gentil, Hélène).

Pauline, encore une fois, mille mercis

Comme la pluie...

Comme la pluie nous manque parfois
Un orage aurait plus d’allure
Pour se crier ces choses-là
Se jeter ces mots à la figure
Comme la pluie nous manque parfois
Comme le soleil nous tue
Comme ses rayons nous semblent froids
Quand on ne s’aime plus

Comme les forces nous manquent parfois
Une bagarre aurait plus de gueule
Passer ton visage à tabac
Qu’enfin plus personne n’en veule
Comme les forces nous manquent parfois
Comme nos bras nous trahissent
Lorsque l’amour entre nos doigts
Comme le sable glisse

Comme les pleurs nous manquent parfois
Un mélo aurait plus de classe
Quelques larmes, nous valions bien ça
Mais c’est trop demander hélas
Comme les pleurs nous manquent parfois

Comme la nuit nous manque parfois
Le noir serait plus à mon goût
Ses étoiles comme autant de croix
Tout un ciel en deuil de nous
Comme la nuit nous manque parfois
Comme elle tarde à venir
Quand elle tombe, ne trembles-tu de ça
Toutes ces nuits à venir

J'ai enfin vu "La Belle Personne" il y a quelque semaines, et ce film m'a bouleversée... Surtout ce passage chanté (ci-dessus) par Grégoire Leprince-Ringuet (la belle personne, c'est lui). Pourtant, je n'avais pas du tout aimé le dernier Christophe Honoré, mais là... C'est bien simple, le film me hante encore, et j'ai du mal à mettre des mots sur ce que j'ai ressenti...