mardi 27 juillet 2010

Dernièrement, j'ai...

Fait quelques achats...




Sandales Minelli ; bague artisanlook ; sac Tea Appreciation Society ; macarons handmadelove (Dawn m'a offert les boutons et la jolie petite affiche !).


Pas mal lu...

La vie secrète des jeunes II est encore mieux que le premier ; j'ai hâte de tenter les recettes de Mademoiselle K (merci à Loukoum qui m'a fait découvrir cette "correspondance de recettes") ; j'en suis au tome 2 de Lorsque nous vivions ensemble, c'est triste et sublime ; la tante de M. m'a offert L'innocence à Noël, j'ai été agréablement surprise, je vais enfin lire La jeune fille à la perle, mais en anglais par contre !


Mangé dehors...



Bagel BLT et (délicieux) carrot cake chez Morry's ; veggie bagel à la tapenade rouge chez Bob's Kitchen (j'en ferais bien ma cantine...).


Vu des bons films...

Je vous ai déjà parlé de Map of the sounds of Tokyo, je vous conseille tous les autres, mais surtout : La comtesse, avec Julie Delpy impressionnante et Daniel Brühl très touchant, de beaux costumes, des moments durs, et aussi une belles histoire d'amitié féminine ; Air Doll, un conte moderne mélancolique, parfois étrange, et beau ; Inception, un thriller intelligent, bien mené, bluffant (et puis Joseph Gordon-Levitt quoi !).


Cuisiné (un peu)...

J'ai revisité les scones de Gracianne à la manière de Loukoum, et c'était top ! J'oserais même dire meilleur que les originaux ! Sierralemon, tu peux craquer pour ceux-là aussi :)


Et pris des photos de Mako...



Pour te répondre le citron, il va très bien. Il est parfois foufou, parfois câlin, il ronronne beaucoup, et surtout, il grandit à vu d'œil !

samedi 24 juillet 2010

Tofu en veux tu en voilà

Ma devinette n'était finalement pas si difficile, j'aurais dû envoyer une autre photo, mais j'avais peur que celle-ci soit trop corsée. En tout cas, bravo à Miss Poppycock qui a trouvé ! Le quinoa rouge n'a pas grand chose d'original en soi, si ce n'est que pour cette recette, il a servi de fond de tarte. Oui, j'ai de nouveau tenté une recette de Fannie Denault, pour un peu d'originalité et de nouveauté ! Et si cette recette m'a tout d'abord attiré, ce n'est pas à cause du quinoa rouge, mais du tofu.

Le tofu et moi, on n'a pas toujours été super copains. La première fois que j'en ai goûté, c'était sous la forme d'un steak de tofu tout préparé que ma mère avait acheté en grande surface, se demandant sûrement quel goût ça avait. Ce premier essai ne m'avait pas du tout convaincue, mais il faut dire que moi et les plats tout préparés, on n'est pas super potes non plus...
J'ai attendu un bon moment avant de me redécider à en acheter, du nature cette fois. Je ne savais pas trop comment le cuisiner, mais M. avait l'air de savoir lui et a décidé de l'intégrer à un de ces fameux sautés de riz. Je le laisse donc faire, ça sera sûrement très bon, vu qu'il fait toujours des miracles d'un rien. Mouais, pas trop cette fois-ci... Ce n'est pas mauvais, mais ça n'a rien de terrible non plus. Je me décide donc pour cette ultime tentative à cuisiner du tofu avec une vraie recette, si possible d'un livre que j'ai déjà approuvé, pour éviter les mauvaises surprises. Comme on dit, jamais deux sans trois, et le troisième essai a bien été le bon !


C'est cette photo-là que je voulais vous proposer au départ.


Tarte quinoa au tofu fumé et à l'oignon (6 à 8 personnes)

Pour le fond de tarte
150 g de quinoa rouge
1 c. à soupe de tahini*
2 c. à café de moutarde
1 blanc d'œuf

* Ou plus simplement appelé "purée de sésame", j'en ai trouvé au Retour à la Terre.

Huilez et chemisez de papier cuisson un moule à tarte d'un diamètre de 28 cm environ.
Rincez le quinoa et faites cuire dans deux fois son volume d'eau pendant 15 minutes. Retirez du feu et laissez gonfler pendant 10 minutes. Incorporez le tahini, la moutarde et le blanc d'œuf. Salez, poivrez et mélangez bien.
Abaissez la préparation dans le moule. Réservez.
Préchauffez le four à 190 °C.

Pour la garniture
300 g d'oignons nouveaux émincés
Huile végétale
1 c. à café de sucre
150 g de tofu fumé
1 œuf
120 ml de crème de soja (ou crème fraîche)
1 pincée de sucre

Faites revenir les oignons dans un peu d'huile végétale. Ajoutez 1 cuillerée à café de sucre et mélangez. Couvrez et laissez cuire de 7 à 10 minutes.
Émiettez le tofu fumé sur le fond de tarte.
Dans un bol, battez ensemble l'œuf et la crème de soja. Incorporez les oignons cuits.
Versez sur le fond de tarte, saupoudrez d'une pincée de sucre et enfournez pour 40 minutes.



Et puis, parce que jamais 3 sans 4 (ah bon, ça ne se dit pas ?), et comme j'avais acheté trop de tofu, j'ai fait confiance cette fois à Kaori Endo pour une recette de tofu burgers aux légumes qui déchire tout ! Oui oui, je pèse mes mots, c'était divin. Bon, c'est vrai que je ne suis pas trop "boeuf" à la base, donc si on peut trouver une alternative, je suis partante, mais même M. qui ne semblait pas convaincu a trouvé ça très bon alors... Cette recette m'a aussi permis de goûter du topinambour pour la toute première fois (oui, je sais, la honte), et je compte bien retenter l'expérience, dans une recette où il tiendra la vedette cette fois. Celle-ci par exemple.


Tofu burgers (pour 2)

1 tofu bio nature de 250g
100g de viande hachée (bœuf, veau, porc, poulet)
1 petit poireau
1 carotte
1 topinambour
1 petite poignée de petits pois
1 œuf
1 doigt de gingembre
4 c. à soupe d'huile de sésame
1 c. à soupe de sauce soja
2 c. à café de sel fin
Huile pour cuisson

Épluchez et hachez le poireau, la carotte et le topinambour (vous pouvez les passez au mixeur, ça va plus vite !).
Épluchez et râpez finement le gingembre. Chauffez la moitié de l'huile de sésame dans une poêle et faites revenir les légumes hachés ainsi que les petits pois pendant 10 minutes jusqu'à ce qu'ils soient tendres et légèrement colorés. Salez-les.
Mettez le tofu dans un saladier et écrasez-le complètement avec les mains. Pour une texture encore plus soyeuse, mixez-le (avec un robot ou un mixeur plongeant). Ajoutez la viande, les légumes cuits, le gingembre, l'œuf et la sauce soja. Mélangez pour obtenir une farce homogène. Divisez la préparation en deux portions et façonnez-les en forme de steak haché.
Chauffez une poêle anti-adhésive avec un peu d'huile et faites cuire les tofu burgers à feu moyen pendant 2 minutes. Retournez-les, baissez le feu, couvrez et continuez la cuisson 3 minutes.
Quand les tofu burgers sont cuits, versez dans la poêle 2 c. à soupe de sauce soja et de mirin. Laissez évaporez en tournant les burgers afin qu'ils s'imprègnent de la sauce épaissie. Servez avec un peu de mâche et de roquette, miam !


Sinon, aucun rapport, mais je participe à un
concours de paper toys sur le blog de l'écureuil volant dans l'espace (très rigolo soit dit en passant, n'hésitez pas à y jetez un œil). Si vous trouvez que ma photo le mérite, n'hésitez pas à voter pour moi ! Ça serait super gentil en tout cas :)

mercredi 21 juillet 2010

Devinette

J'étais partie pour écrire un billet, et puis non, j'ai décidé de le reporter à demain. En attendant, voici une petite devinette (en rapport au prochain billet, d'où l'idée !).
Qu'est-ce que c'est ?

Ce n'est pas trop compliqué. Enfin, je crois...

À demain !

dimanche 18 juillet 2010

Mochi et cinéma

Je comptais vous raconter mon super week-end : vendredi après-midi balade et shopping, samedi déjeuner et promenade avec F., dimanche brocante, et puis non. Malheureusement, j'ai été clouée au lit avec de la fièvre dès jeudi soir, tous mes projets n'ont donc malheureusement pas pu se concrétiser. Ô rage, ô désespoir... Moi qui tombe si peu malade, il faut que ça tombe maintenant, lors des beaux jours, et un week-end en plus ! Déjà que M. et moi avons été bloqués à la maison mercredi pour cause de pluie torrentielle, autant vous dire que j'ai répété je ne sais combien de fois "je déteste être malade" pendant ces quelques jours.

Heureusement, j'ai toujours quelques billets "sous le coude", donc je ne suis pas à cours de bavardage. Là tout de suite, j'ai envie de vous parler de mochi. Vous savez, ces délicieuses petites boules à base de riz, qu'on fourre à la fraise, aux azuki, aux marrons, à tout ce qu'on veut... Hier, je suis sortie me promener près de chez moi (je suis encore un peu enrhumée, mais j'en avais marre d'être enfermée) et j'ai fait une petite pause goûter chez Kikoumaru. Un bubble tea mangue thé vert (super rafraîchissant) et puis un mochi aux azuki qui me faisait de l'œil dans la vitrine.



Ce mochi m'a rappelé Map of the sounds of Tokyo que j'ai vu il y a deux semaines, film dans lequel Rinko Kikuchi se délecte de mochi à la fraise qu'elle passe d'abord au micro-ondes pour qu'ils soient bien élastiques et étirables à souhait. Il y a aussi une très jolie scène de baiser au mochi entre un couple un peu improbable au départ, mais très touchant finalement. À la sortie du cinéma, j'ai eu du mal à décrire ce que j'avais ressenti. M. et moi n'avons pas vu le même film j'ai l'impression : il a trouvé que certains personnages et scènes étaient de trop, j'ai tenté d'argumenter et de lui expliquer pourquoi tout était là où il fallait.
J'ai trouvé le film très esthétique et parsemé de jolis moments, parfois irréels : des douches citronnées, un couple qui rit en mangeant bruyamment des ramen, un déjeuner silencieux au cimetière, un hôtel-métro comme dans un rêve, un baiser au mochi, les tâches de rousseur sur le beau visage de Rinko Kikuchi, une jolie fête foraine, une plante qui marche... J'ai aimé ce regard d'une étrangère (Isabel Coixet, la réalisatrice espagnole) sur le Japon, un autre Japon donc : beaucoup de scènes de nuit, peu d'endroits bondés, des plans survolant la mégalopole muette, des petits restaurants de quartier, et surtout, le marché au petit matin...



Ça m'a donné très envie de revoir Ma vie sans moi, premier film d'Isabel Coixet, bijou d'émotion portée par la sublime Sarah Polley. Où des gens dansent au supermarché, où on déguste des bonbons au gingembre, où les piles de livres servent de siège, où on écoute le chant des verres, où une maman joue au radeau (et fait le lion) pour émerveiller ses petites filles, où on crie tout en s'embrassant... Un film qui m'avait énormément touchée quand je l'avais vu en salles, un moment de cinéma rare.



mardi 13 juillet 2010

De l'amour fait main*

Je vous avais déjà parlé de Dawn Tan très vite ici, mais aujourd'hui, j'ai envie d'y revenir un peu plus longuement. Il faut dire qu'à l'époque du précédent billet, je ne connaissais pas encore bien son univers, j'avais juste craqué sur ses créations (notamment une jolie illustration de chouette), mais depuis, je suis son blog assidument, je dévore chacun de ses billets, des yeux notamment, et surtout, je souris devant tant de couleurs, de fantaisie, de joie de vivre... et aussi de nourriture ! Pourquoi j'aime tant Dawn, alors que je ne la connais ni d'Ève, ni d'Adam, et que je ne la rencontrerais probablement jamais, vu qu'elle vit à Melbourne ?

Parce qu'elle aime les bonheurs simples et qu'elle sait les raconter, qu'elle me fait découvrir Melbourne que j'ai très envie de voir en vrai maintenant, qu'elle aime manger et qu'elle ne s'en cache pas, qu'elle a toujours le sourire et qu'elle respire la joie de vivre, que ses créations sont délicates, inspirées et puis l'aquarelle, c'est tout simplement sublime, qu'elle porte des lunettes rouges (comme moi !), qu'elle construit des macarons en tissu (me want !) et qu'elle se déguise en paquet de chamallows, que son atelier ressemble à un monde magique et enfantin, et puis peut-être surtout, parce qu'elle photographie ce qu'elle mange, où elle mange, et qu'elle fait un grand (très grand) cahier dans lequel elle dessine (et peint) tout ce qu'elle a mangé, à la miette près. Bref, si je la voyais en vrai, je crois que je ne pourrais pas m'empêcher de la serrer très fort, en espérant que sa joie de vivre déteigne un peu sur moi...







J'adore aussi ses chaussures, notamment celles-ci dans lesquelles on doit être bien, mais bien ! Les talons et moi, on est fâchés depuis toujours, et comme je marche énormément, j'aime me sentir bien dans mes baskets (et ballerines, sandales, bottes, etc.).


* traduction du nom de son blog, Handmade love. Désolée, déformation professionnelle ;)

dimanche 11 juillet 2010

Si ça c'est l'enfer, je veux bien me damner...

J'ai toujours préféré le sucré, même si en vieillissant, j'apprécie de plus en plus le salé. Pourtant, je n'imagine toujours pas finir un repas sans une note sucrée. Même si j'ai l'estomac déjà bien rempli, il me faut au moins un petit bout de chocolat avec mon café, sinon j'ai le sentiment de ne pas avoir mangé un "vrai repas".

Depuis que je suis à Paris, j'ai beaucoup de mal à résister à tout ce que la capitale offre en matière de pâtisseries et chocolateries. J'en ai d'ailleurs une liste qui s'allonge de jour en jour... Je ne sais pas dire non (notamment) à du carrot cake, des macarons (ceux de chez Ladurée en particulier) et à n'importe quel chocolat qu'on me propose gentiment.
Alors forcément, quand je suis passée chez François Pralus il y a deux semaines pour ramener une fameuse praluline à la maman de M., je n'ai pas hésité bien longtemps devant cette énorme barre infernale qui me susurrait "tu sais que tu as très envie de me goûter", tel un petit diable posé sur mon épaule. Bizarrement, dans ces cas-là, je n'entends pas le petit ange qui est censé se trouver sur mon autre épaule...


Merci à Miss Poppycock de m'avoir suggéré de la goûter, je me suis rappelé de ce bon conseil en la voyant dans le magasin. Tu avais raison, c'est juste terrible ! Et ce n'est pas M. qui me contredira, j'ai dû lui arracher gentiment des mains sinon il la finissait !

Je vais être obligé de retourner chez Pralus goûter la version au chocolat noir, zut alors... ;)

François Pralus
35 rue Rambuteau
75004 Paris

mercredi 7 juillet 2010

The grass is always greener...

Il y a un peu plus d'un an maintenant, nous cherchions un appartement. M. avait décroché un stage dans la capitale, et vu que je suis "mobile", l'occasion était trop belle pour ne pas s'installer enfin ensemble, à Paris. Nous avons passé quatre jours à visiter des appartements : face à des prix excessifs par rapport à ce qu'on nous proposait et surtout face à des trentaines d'autres personnes munies d'un meilleur dossier, nous étions peu optimistes... Et puis, dimanche matin, seulement quelques heures avant de rentrer à Nantes, nous avons été les premiers à visiter l'appartement qui est aujourd'hui le nôtre. Un prix correct (pour Paris j'entends), suffisamment de mètres carré pour ne pas se marcher dessus, une salle de bain plus grande qu'une cabine de douche, un propriétaire agréable et qui nous reçoit seuls, une cuisine entièrement équipée (et au gaz, chouette !), et surtout, le quartier que l'on voulait, avant même de savoir à quel point il nous plairait.


Et puis, l'élément que l'on a découvert avant l'appartement et qui a finalement beaucoup jouer dans la balance : une charmante cour fleurie et silencieuse qui clashe avec l'idée qu'on a d'un appartement parisien. Un havre de paix, un joli espace à traverser avant de rentrer chez soi, des plantes, des fleurs, des vignes (!), des oiseaux, cette impression d'être comme en dehors de la ville... Tous les gens qui viennent nous voir tombent sous son charme et nous disent combien nous sommes chanceux. Soit. Et pourtant, cette cour n'a pas que des avantages...
Tous les murs près de nos fenêtres sont recouverts d'une épaisse couche de lierre que nous n'avons pas le droit de tailler, ne serait-ce qu'un petit peu. Ce lierre nous vole pas mal de lumière, surtout dans notre salon, et surtout, il est rempli de pucerons. Autant vous dire que toutes mes tentatives pour faire pousser n'importe quel petit bout de plante ont échoué. Si je les laisse à l'intérieur, près de la fenêtre, elles n'ont pas assez de lumière. Et si je les sors, les pucerons se régalent, et adieu mes jolies pousses ! J'ai déjà perdu un fraisier, du basilic, de la ciboulette, du trèfle... Ma sœur m'a offert des graines à Noël dernier, je n'ose pas les mettre en pot.



En attendant de trouver une solution pour sortir mes plantes, j'ai trouvé quelques jolies idées de plantes d'intérieur sur Design*Sponge (dans la section "DIY").






J'ai également découvert les supers cartes postales jardin ci-dessous sur Postcarden. Vous êtes plutôt jardin botanique ou potager ?


Si jamais vous avez des idées pour que je sorte mes plantes à ma fenêtre (sans qu'elles se fassent dévorer), je suis toute ouïe. Merci d'avance !

samedi 3 juillet 2010

Un peu de soleil malgré tout

Aujourd'hui, le beau temps n'est pas au rendez-vous, vous l'aurez remarqué. C'est plutôt une bonne nouvelle, ça nous a permis de rafraîchir l'appartement, surtout que c'est un peu difficile en ce moment avec Mako qui fait son curieux. Malheureusement, même si cette fraîcheur est la bienvenue, l'absence de soleil manque cruellement... Notre appartement devient vite sombre, et devoir allumer la lumière dès 11h du matin, ça me donne un peu le bourdon. Je n'ai jamais cru que le soleil pouvait vraiment influer sur mon humeur, mais depuis que je travaille chez moi, je me rends compte combien c'est vrai. Pour pallier à ça, voici une vidéo qui m'a donné du baume au cœur et a réussi à illuminer ma journée bien assombrie...

Your secret de Jean-Sebastien Monzani



Si vous avez du temps devant vous, je vous conseille de traîner un peu sur Vimeo, on tombe parfois sur des petites merveilles...

vendredi 2 juillet 2010

Le petit nouveau

M. et moi avons accueilli notre chaton dimanche dernier. Nous avons profité d'un week-end familial près de Rennes pour aller le chercher, et puisque plus on est de fous, plus on rit, nous avons ramené toute la portée (les 4 chatons donc) à Paris. Après 1h30 de voiture jusqu'à Nantes sous une chaleur écrasante, une petite pause bien méritée, puis 2h30 de train jusqu'à Paris, nous n'étions pas mécontents d'arriver. Et après nous être "délestés" de deux chatons (leurs propriétaires les ont récupérés à la gare, on ne les a pas abandonnés dans la rue je vous rassure), nous sommes rentrés tous les trois, plus Pancake que nous avons eu en garde jusqu'à mardi. Quel périple ! Un grand merci encore à Claire qui a donné ses chatons, et à Anne-So qui a joué les entremetteuses.

Je vous présente donc Mako : il a deux mois, il est très joueur et curieux, en particulier quand il me voit à mon ordinateur (pas toujours facile de travailler avec un chaton qui fait des aller-retour sur votre clavier !). Heureusement, il sait aussi être plus calme et câlin. Il a ronronné pour la première fois hier, ça y est, j'en suis gaga :)







J'ai déjà pris un milliard de photos de lui, sous toutes les coutures (c'est mon premier chat, depuis le temps que j'en rêve...), mais promis, j'essaierais de ne pas en envahir ce blog.