Je vous l'avait dit, j'ai suivi le deuxième cours Wagashi à la Cocotte dans le cadre des cinq cours de Chihiro Tokioka, pour tout apprendre sur la pâtisserie japonaise. Cette fois, nous avons appris deux nouvelles recettes : l'anmitsu à l'agar-agar au matcha et les daifuku aux marrons.
J'étais très contente d'apprendre une recette à l'agar-agar, ma bête noire. Une amie m'a offert un livre de recettes asiatiques et une magnifique photo de "gelée neigeuse aux framboises" m'avait donné envie de tenter la recette. Malheureusement, les instructions étant assez vagues, mon agar-agar n'avait pas pris et depuis, je n'avais pas osé en réutiliser. C'est maintenant chose faite grâce aux bons conseils de Chihiro.
L'anmitsu (mitsu = sirop, an = haricots rouges) est apparemment un dessert japonais très apprécié et à la carte de tous les salons de thé qui se respectent. Il se compose d'agar-agar (gelée) aromatisée à ce qu'on veut, de fruits frais, de pâte d'azuki et de chantilly. Chihiro nous montre comment faire cuire l'agar-agar pour obtenir une consistante parfaite, on y ajoute du matcha un peu dilué (pour 5 personnes : 2 c. à soupe de matcha diluées dans 1 c. à soupe d'eau et 1 C. à soupe de sucre) et hop, au frais pendant 30 minutes minimum, dans un grand tupperware rectangulaire !
La dégustation, accompagnée d'un mug de thé vert, est un délice. C'est frais, simple et raffiné. L'agar-agar n'est pas trop sucré, ce qui contrebalance avec la pâte d'azuki et la chantilly. Et comme je l'avais déjà remarqué lors de la réalisation de mon tiramisu matchaesque, les framboises se marient très bien avec ce thé vert.
Le tout recouvert d'un sirop au matcha, miam...
Arrive ensuite la préparation des daifukus : ces petites pâtisseries japonaises qu'on mange principalement au goûter me tentent depuis un moment, mais je n'en avais encore jamais goûté. Je me suis dit que ce cours était donc l'occasion rêvée de rattraper ça ! Pour l'anecdote, le mot daifuku est composé de deux kanji, dai et fuku, qui signifie respectivement "grand" et "ventre". Cette expression n'étant guère réjouissante, on lui a préféré un autre sens du deuxième kanji pour obtenir ainsi "grand bonheur".
La cuisson de la pâte est particulièrement délicate si l'on veut obtenir la consistance parfaite. Une fois le sucre, la farine shiratamako (faite uniquement à base de riz gluant mochigone) et l'eau mélangé, on met notre pâte au micro-ondes pendant 2 minutes, on mélange bien, et on reproduit le processus 2 à 3 fois jusqu'à obtenir une pâte transparente. Très bien, mais je n'ai pas de micro-ondes à la maison !!!! On peut aussi la faire cuire à la vapeur, donc je tenterai comme ça, mais j'ai un peu peur du résultat...
Une fois que la pâte est prête, Chihiro recouvre un plateau de katakuriko (de la fécule de pomme de terre à la texture très étrange) et on malaxe. Ensuite, on en coupe des petits morceaux et on forme des petites boules. La suite, c'est la partie rigolote et facile. Puisqu'on fait un daifuku aux marrons, on prend un marron confit japonais, assez différent de nos français, on l'entoure de pâte d'azuki, puis on insère cette boule dans notre boule de pâte, auparavant aplatie. Dit comme ça, ça semble complexe, mais pas du tout !
Les petites boules jaunes, ce sont les marrons.
Mes marrons recouverts de pâte aux haricots rouges.
Je suis vraiment fan des daifukus, ça y est ! Par contre, la prochaine fois, je tenterai avec un autre fruit, parce que je ne suis pas trop marron, et même quand ils sont japonais... Apparemment, c'est délicieux à la fraise. Mon amoureux et moi avons tellement aimé les daifukus que je n'ai pas pu m'empêcher d'aller en acheter chez Kikoumaru, en attendant d'en refaire (avec lui, il a très envie d'apprendre). Je rêvais des daifukus frais à la crème de matcha de Suzu, je devrais me contenter de ceux empaquetés, qui sont ma fois pas mal du tout.
Et j'ai vraiment adoré ce cours à la Cocotte, peut-être plus que les autres, car j'ai trouvé les autres élèves très ouvertes. On a discuté, de nos goûts et expériences culinaires japonais, de nos adresses, aussi japonaises, à Paris, tout ça dans la bonne humeur et avec l'envie d'apprendre et de partager.
Et en plus de découvrir les daifukus, j'ai enfin goûter la pâte de haricots rouges et ça y est, je l'ai adoptée. J'en ai acheté chez Kioko une semaine après le cours et je suis fin prête à tenter toutes les super recettes aux azuki de Mingou.
J'étais très contente d'apprendre une recette à l'agar-agar, ma bête noire. Une amie m'a offert un livre de recettes asiatiques et une magnifique photo de "gelée neigeuse aux framboises" m'avait donné envie de tenter la recette. Malheureusement, les instructions étant assez vagues, mon agar-agar n'avait pas pris et depuis, je n'avais pas osé en réutiliser. C'est maintenant chose faite grâce aux bons conseils de Chihiro.
L'anmitsu (mitsu = sirop, an = haricots rouges) est apparemment un dessert japonais très apprécié et à la carte de tous les salons de thé qui se respectent. Il se compose d'agar-agar (gelée) aromatisée à ce qu'on veut, de fruits frais, de pâte d'azuki et de chantilly. Chihiro nous montre comment faire cuire l'agar-agar pour obtenir une consistante parfaite, on y ajoute du matcha un peu dilué (pour 5 personnes : 2 c. à soupe de matcha diluées dans 1 c. à soupe d'eau et 1 C. à soupe de sucre) et hop, au frais pendant 30 minutes minimum, dans un grand tupperware rectangulaire !
La dégustation, accompagnée d'un mug de thé vert, est un délice. C'est frais, simple et raffiné. L'agar-agar n'est pas trop sucré, ce qui contrebalance avec la pâte d'azuki et la chantilly. Et comme je l'avais déjà remarqué lors de la réalisation de mon tiramisu matchaesque, les framboises se marient très bien avec ce thé vert.
Le tout recouvert d'un sirop au matcha, miam...
Arrive ensuite la préparation des daifukus : ces petites pâtisseries japonaises qu'on mange principalement au goûter me tentent depuis un moment, mais je n'en avais encore jamais goûté. Je me suis dit que ce cours était donc l'occasion rêvée de rattraper ça ! Pour l'anecdote, le mot daifuku est composé de deux kanji, dai et fuku, qui signifie respectivement "grand" et "ventre". Cette expression n'étant guère réjouissante, on lui a préféré un autre sens du deuxième kanji pour obtenir ainsi "grand bonheur".
La cuisson de la pâte est particulièrement délicate si l'on veut obtenir la consistance parfaite. Une fois le sucre, la farine shiratamako (faite uniquement à base de riz gluant mochigone) et l'eau mélangé, on met notre pâte au micro-ondes pendant 2 minutes, on mélange bien, et on reproduit le processus 2 à 3 fois jusqu'à obtenir une pâte transparente. Très bien, mais je n'ai pas de micro-ondes à la maison !!!! On peut aussi la faire cuire à la vapeur, donc je tenterai comme ça, mais j'ai un peu peur du résultat...
Une fois que la pâte est prête, Chihiro recouvre un plateau de katakuriko (de la fécule de pomme de terre à la texture très étrange) et on malaxe. Ensuite, on en coupe des petits morceaux et on forme des petites boules. La suite, c'est la partie rigolote et facile. Puisqu'on fait un daifuku aux marrons, on prend un marron confit japonais, assez différent de nos français, on l'entoure de pâte d'azuki, puis on insère cette boule dans notre boule de pâte, auparavant aplatie. Dit comme ça, ça semble complexe, mais pas du tout !
Les petites boules jaunes, ce sont les marrons.
Mes marrons recouverts de pâte aux haricots rouges.
Je suis vraiment fan des daifukus, ça y est ! Par contre, la prochaine fois, je tenterai avec un autre fruit, parce que je ne suis pas trop marron, et même quand ils sont japonais... Apparemment, c'est délicieux à la fraise. Mon amoureux et moi avons tellement aimé les daifukus que je n'ai pas pu m'empêcher d'aller en acheter chez Kikoumaru, en attendant d'en refaire (avec lui, il a très envie d'apprendre). Je rêvais des daifukus frais à la crème de matcha de Suzu, je devrais me contenter de ceux empaquetés, qui sont ma fois pas mal du tout.
Et j'ai vraiment adoré ce cours à la Cocotte, peut-être plus que les autres, car j'ai trouvé les autres élèves très ouvertes. On a discuté, de nos goûts et expériences culinaires japonais, de nos adresses, aussi japonaises, à Paris, tout ça dans la bonne humeur et avec l'envie d'apprendre et de partager.
Et en plus de découvrir les daifukus, j'ai enfin goûter la pâte de haricots rouges et ça y est, je l'ai adoptée. J'en ai acheté chez Kioko une semaine après le cours et je suis fin prête à tenter toutes les super recettes aux azuki de Mingou.
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