Quand j'étais petite, j'étais émerveillée par la collection de bandes dessinées de mon père. Pour moi, c'était un véritable trésor. Je pouvais passer des heures assise à côté, une BD sur les genoux. J'en choisissais une un peu au hasard, en fonction de la couverture et du titre. Il y avait aussi quelques tomes fétiches : je ne saurais l'expliquer, mais j'ai lu Les trois vieillards du pays d'Aran une bonne vingtaine de fois. Parfois aussi, je tombais sur des tomes un peu osés... J'ai commencé à demander des bandes dessinées pour Noël ou mon anniversaire : les toutes premières, c'étaient les aventures du Marsupilami. Je rêvais de dormir dans son nid rempli de plumes, perché tout en haut des arbres. Plus tard, il y a eu ces étés dans le sud de la France et la chambre de N. rempli de Léonard, de Schtroumpfs et de comics (des X-Men surtout). Je m'ouvrais à un autre genre de bandes dessinées, toujours avec autant de plaisir. Encore un peu plus tard, il y a eu les mangas...
On dit souvent que les gens qui sont bandes dessinées ne sont pas romans, et vice-versa, mais malheureusement, la règle ne s'applique pas à moi. Après avoir dévoré les BD de mon père, je me suis à dévorer les romans de ma mère (qui a une bibliothèque de taille équivalente). Là aussi, un peu au hasard, en fonction du titre, du résumé. Mon amour pour les romans n'a pas plus diminué que celui pour les bandes dessinées, et ça, c'est problématique, autant pour mon porte-monnaie que pour notre appartement qui va bientôt être envahi...
Pour ne rien arranger à l'affaire, j'ai découvert il y a peu Les chroniques BD de Pénélope Bagieu. Et là, je défie n'importe quel amoureux de bandes dessinées de regarder ses chroniques et de ne pas avoir envie de tout acheter. Autant vous dire que 3 jours après avoir absorbé toutes les vidéos, je me retrouvais à la Fnac, à parcourir le rayon BD de fond en comble, mes bras de plus en plus remplis et mon cœur balançant entre plusieurs tomes. "Je prends celui-ci. Non, plutôt celui-là et l'autre. Je vais voir s'il n'y a pas cet autre-là en rayon." Et comme le prix monte très vite, il vaut mieux faire un choix. Voilà donc mon butin (non, je n'ai pas choisi en fonction des couleurs, mais tout ça est très jaune-orange).

Je ne fais pas vous faire de critique, Pénélope fait ça bien mieux que moi ! J'ai aimé les trois, pour différentes raisons. Riad Sattouf, j'accroche bien depuis un moment, et ce tome-là m'a franchement fait exploser de rire (M. aussi). J'ai beaucoup aimé le style subjectif de Dans mes yeux, ses dessins au crayon de couleur et la simplicité de son histoire qui parle forcément à tout le monde. Ça m'a donné envie de lire les autres BD de Bastien Vivès. Quand à Cinq mille kilomètres par seconde, les aquarelles sont tout simplement sublimes, chacune est une œuvre à part entière. Et l'histoire est aussi très belle et touchante.
Voilà, craquez vous aussi, comme ça je ne serai pas la seule à être influençable !
On dit souvent que les gens qui sont bandes dessinées ne sont pas romans, et vice-versa, mais malheureusement, la règle ne s'applique pas à moi. Après avoir dévoré les BD de mon père, je me suis à dévorer les romans de ma mère (qui a une bibliothèque de taille équivalente). Là aussi, un peu au hasard, en fonction du titre, du résumé. Mon amour pour les romans n'a pas plus diminué que celui pour les bandes dessinées, et ça, c'est problématique, autant pour mon porte-monnaie que pour notre appartement qui va bientôt être envahi...
Pour ne rien arranger à l'affaire, j'ai découvert il y a peu Les chroniques BD de Pénélope Bagieu. Et là, je défie n'importe quel amoureux de bandes dessinées de regarder ses chroniques et de ne pas avoir envie de tout acheter. Autant vous dire que 3 jours après avoir absorbé toutes les vidéos, je me retrouvais à la Fnac, à parcourir le rayon BD de fond en comble, mes bras de plus en plus remplis et mon cœur balançant entre plusieurs tomes. "Je prends celui-ci. Non, plutôt celui-là et l'autre. Je vais voir s'il n'y a pas cet autre-là en rayon." Et comme le prix monte très vite, il vaut mieux faire un choix. Voilà donc mon butin (non, je n'ai pas choisi en fonction des couleurs, mais tout ça est très jaune-orange).

Je ne fais pas vous faire de critique, Pénélope fait ça bien mieux que moi ! J'ai aimé les trois, pour différentes raisons. Riad Sattouf, j'accroche bien depuis un moment, et ce tome-là m'a franchement fait exploser de rire (M. aussi). J'ai beaucoup aimé le style subjectif de Dans mes yeux, ses dessins au crayon de couleur et la simplicité de son histoire qui parle forcément à tout le monde. Ça m'a donné envie de lire les autres BD de Bastien Vivès. Quand à Cinq mille kilomètres par seconde, les aquarelles sont tout simplement sublimes, chacune est une œuvre à part entière. Et l'histoire est aussi très belle et touchante.
Voilà, craquez vous aussi, comme ça je ne serai pas la seule à être influençable !