Mon amoureux (M. donc) est un peu enquiquinant en ce qui concerne les légumes. Il a une façon bien à lui de qualifier les légumes qu'il n'aime pas : ils ne sont "pas intéressant". Certes, vous allez me dire, comment un légume pourrait-il être intéressant ? Sans conversation, c'est un peu difficile. Ce qu'il entend par là, c'est plutôt fade et dont le goût n'a pas d'intérêt. Ce qui pour lui regroupe les haricots verts (sauf ceux de chez Momoka, mais je vous en reparlerai), le brocolis, la courgette, les asperges, etc. mais aussi la pomme de terre !
Autant vous dire que si je veux manger des patates, moi qui aime ça sous toutes ses formes (enfin, j'aime aussi les haricots, les courgettes et les asperges) , je dois ruser ! Soit je me résigne à faire des pommes de terre salardaises comme ma mamie, c'est-à-dire qui ont baigné dans du gras de confit de canard (complètement addictif et pas sain du tout), vu que forcément, quand c'est bien gras, il aime ; soit je trouve une recette un peu plus saine. Et là, merci encore à Kaori Endo (ah ce livre, une mine d'or) : certes, les korokke (ou croquettes de pommes de terre) sont panées, mais on est loin des pommes de terre salardaises. Il faut que j'arrête d'en parler, ça me fait drôlement envie...
Korokke (pour 4 personnes)
1 kg de pommes de terre fermes
1 petit oignon
100 g de steak haché
1 c. à soupe d'huile
50 g de beurre
Sel et poivre
2 œufs
Farine
Chapelure japonaise
Huile pour friture
1/2 chou blanc
Sauce Bull-Dog ou sauce pour okonomiyaki
Épluchez les pommes de terre et coupez-les en gros dés.
Faites-les cuire à l'eau en les salant en fin de cuisson.
Pendant ce temps, épluchez et hachez l'oignon. Faites-le revenir doucement à l'huile jusqu'à ce qu'il devienne tendre et transparent.
Ajoutez le steak haché à l'oignon. Augmentez le feu et faites revenir en écrasant le steak. Lorsque la viande est cuite, salez, poivrez et laissez refroidir.
Égouttez les pommes de terre, puis remettez-les dans la casserole sèche. Chauffez-les doucement en remuant pour faire évaporer le maximum d'eau, jusqu'à ce qu'elles commencent à coller aux parois de la casserole. Hors du feu, écrasez les pommes de terre (vous pouvez aussi les passer au moulin).
Ajoutez à la purée le beurre, l'oignon et le steak haché. Salez et poivrez généreusement.
Façonnez la purée dans la forme que vous souhaitez, tout en restant raisonnable avec la taille. Trop grosses, vos croquettes risquent d'exploser dans l'huile ou n'arriveront pas à cuire au cœur. Petite astuce : humidifiez vos mains avant de façonner vos croquettes pour que la purée ne colle pas.
Panez les croquettes : passez-les d'abord dans la farine, puis dans les œufs battus et enfin dans la chapelure japonaise. Un assistant (merci mon amoureux) ne sera pas de trop !
Si vous avez une friteuse, faites chauffer votre bain de friture à 180 °C et une fois que des petites bulles apparaissent à la surface (l'huile est prête !), plongez vos korokke sans surcharger l'huile et faites frire deux minutes de chaque côté. Si vous n'avez qu'une sauteuse/wok, remplissez le fond d'huile, puis procédez de la même façon qu'avec la friteuse.
Déposez les korokke sur un papier absorbant au fur à mesure qu'elles sont cuites. Dégustez-les sans attendre accompagnées de chou blanc émincé (ou de salade) et de sauce (Bull-Dog ou pour okonomiyaki).
Encore une fois, Kaori Endo a réjoui nos papilles. Et j'ai réussi ma mission : M. a mangé des pommes de terre avec plaisir ! Si jamais vous avez d'autres recettes de pommes de terre appétissantes, je suis toute ouïe.
Autant vous dire que si je veux manger des patates, moi qui aime ça sous toutes ses formes (enfin, j'aime aussi les haricots, les courgettes et les asperges) , je dois ruser ! Soit je me résigne à faire des pommes de terre salardaises comme ma mamie, c'est-à-dire qui ont baigné dans du gras de confit de canard (complètement addictif et pas sain du tout), vu que forcément, quand c'est bien gras, il aime ; soit je trouve une recette un peu plus saine. Et là, merci encore à Kaori Endo (ah ce livre, une mine d'or) : certes, les korokke (ou croquettes de pommes de terre) sont panées, mais on est loin des pommes de terre salardaises. Il faut que j'arrête d'en parler, ça me fait drôlement envie...
Korokke (pour 4 personnes)
1 kg de pommes de terre fermes
1 petit oignon
100 g de steak haché
1 c. à soupe d'huile
50 g de beurre
Sel et poivre
2 œufs
Farine
Chapelure japonaise
Huile pour friture
1/2 chou blanc
Sauce Bull-Dog ou sauce pour okonomiyaki
Épluchez les pommes de terre et coupez-les en gros dés.
Faites-les cuire à l'eau en les salant en fin de cuisson.
Pendant ce temps, épluchez et hachez l'oignon. Faites-le revenir doucement à l'huile jusqu'à ce qu'il devienne tendre et transparent.
Ajoutez le steak haché à l'oignon. Augmentez le feu et faites revenir en écrasant le steak. Lorsque la viande est cuite, salez, poivrez et laissez refroidir.
Égouttez les pommes de terre, puis remettez-les dans la casserole sèche. Chauffez-les doucement en remuant pour faire évaporer le maximum d'eau, jusqu'à ce qu'elles commencent à coller aux parois de la casserole. Hors du feu, écrasez les pommes de terre (vous pouvez aussi les passer au moulin).
Ajoutez à la purée le beurre, l'oignon et le steak haché. Salez et poivrez généreusement.
Façonnez la purée dans la forme que vous souhaitez, tout en restant raisonnable avec la taille. Trop grosses, vos croquettes risquent d'exploser dans l'huile ou n'arriveront pas à cuire au cœur. Petite astuce : humidifiez vos mains avant de façonner vos croquettes pour que la purée ne colle pas.
Panez les croquettes : passez-les d'abord dans la farine, puis dans les œufs battus et enfin dans la chapelure japonaise. Un assistant (merci mon amoureux) ne sera pas de trop !
Si vous avez une friteuse, faites chauffer votre bain de friture à 180 °C et une fois que des petites bulles apparaissent à la surface (l'huile est prête !), plongez vos korokke sans surcharger l'huile et faites frire deux minutes de chaque côté. Si vous n'avez qu'une sauteuse/wok, remplissez le fond d'huile, puis procédez de la même façon qu'avec la friteuse.
Déposez les korokke sur un papier absorbant au fur à mesure qu'elles sont cuites. Dégustez-les sans attendre accompagnées de chou blanc émincé (ou de salade) et de sauce (Bull-Dog ou pour okonomiyaki).
Encore une fois, Kaori Endo a réjoui nos papilles. Et j'ai réussi ma mission : M. a mangé des pommes de terre avec plaisir ! Si jamais vous avez d'autres recettes de pommes de terre appétissantes, je suis toute ouïe.
5 commentaires:
Chez Momoka, TOUS les légumes sont bons. On peut manger les yeux fermés (mais ce serait dommage tant les assiettes sont joliment dressées :-))
Humm... Il n'est que 10h et maintenant j'ai envie de pommes de terres, alors qu'à la base je n'aime pas trop ça. Je ne dis pas que ce n'est pas intéressant, mais quand on m'en propose je réponds que je préfère des pâtes...
@ Mingou : Tout d'accord avec toi :)
@ Le citron : Je suis contente de t'avoir donner envie de pommes de terre alors !
Hmmmmm ça a l'air délicieux ton plat ^^
Merci pour la recette.
Mon homme avait beaucoup de mal également à manger des légumes mais je l'ai initié en détournant des recettes et maintenant il mange de tout ^^
De rien ! Et oui, avec les hommes, il faut parfois ruser hé hé...
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