dimanche 27 septembre 2009

À la recherche du 6ème arrondissement



Samedi après-midi, j'ai décidé d'organiser une expédition à la découverte de Saint-Germain-des-Prés, vu que je ne connais pas du tout le 6ème arrondissement. J'ai acheté le fameux livre "Jeux de pistes et énigmes à Paris" dont j'avais notamment entendu parler sur le blog de Juliette, et surtout parce que je trouvais le principe super sympa. Découvrir Paris autrement, c'est exactement ce dont j'ai envie.

C'est donc parti pour le jeu de piste : rendez-vous à la station de métro Rennes pour démarrer le parcours. On met bien 10 minutes à démarrer, à décider par où partir, on revient sur nos pas, mais on y arrive petit à petit. Il faut dire que les indices ne sont pas toujours évidents, et les phrases parfois un peu alambiquées. Heureusement, quatre têtes valent mieux qu'une !





Le bilan de l'après-midi est plutôt bon : j'adore le principe des énigmes (j'aime bien me creuser la tête) et aussi le fait de devoir regarder partout, d'être à l'affût de tout ce qui nous entoure. J'ai vraiment l'impression que comme ça, on arrive à "assimiler" un lieu, à l'apprendre et à le voir autrement. Seul petit bémol, selon moi : on ne sait jamais quelle distance il y a entre les indices. Parfois, on pense l'avoir passé, parfois on pense avoir trop marcher... Mais je pense que c'est une question de rodage et de persévérance. Il ne faut pas se décourager et au pire, sauter un indice s'il faut.






Pour cette fois, on n'a pas eu le temps de terminer, vu qu'on a commencé le jeu de piste assez tard (à 16h). Et honnêtement, entre la marche et la réflexion, c'est assez fatigant, et on s'est un peu découragé après avoir perdu le fil à la suite d'un indice pas bien trouvé. Mais la prochaine fois, on persévèrera ! Et j'ai vraiment hâte de visiter notre arrondissement qu'on ne connaît pas encore très bien.







Anecdote rigolote : on a croisé un autre petit groupe qui faisait le même jeu de piste que nous. Et je suis ravie de vous annoncer qu'on a trouvé les indices qu'ils avaient manqués. Ouais, c'est nous qu'on est les plus forts !

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